BVO est une variation sur un style très français : La disco.
La vague paillette en France est bien plus imposante qu’on le croit, à l’origine de la French Touch, elle s’est immiscée partout, les B.O du cinéma, les pubs, le hip hop des 90’s, l’éléctro et la world music.
C’est la base de travail du producteur, Adrien Durand, ( Amadou et Mariam en 2017, Bagarre, Papooz ) un voyage dans le déhanchement qui imagine un futur sans frontière.
En 2018, pour le magazine Gonzai, il expliquait cette inspiration synthétique et géographique, à l’occasion de la sortie du premier album :
« La Chine-Afrique, ça m’est venu de Noam Chomsky, et notamment un article où il parlait de l’apparition de l’argot chinois à Lagos, au Nigeria. Ça m’a fortement marqué ; ça m’a semblé extrêmement futuriste. L’idée d’après, ça a été d’imaginer la mégalopole du livre de Philip K. Dick, « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? » en arrivant à la conclusion qu’elle n’était peut-être pas à Los Angeles dans un futur dystopique, mais à Lagos. C’est ça le futur. »
Et voilà donc un deuxième album, « La Course », plus jazz, forcément plus réfléchi, peut-être plus difficile, avec des habitués, les saxophonistes Adrien Soleiman et Julien Cavard, le batteur Wendy Killman, le claviériste Maxime Kosinetz, l’actrice Agathe Bonitzer et des nouveaux le percussionniste colombien Pedro Barrios ou Maxime Daoud d’Ojard au clavecin. Le trip commence fin Mars.
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